F Bayrou veut débaptiser l'ENA et lui substituer"école des sevices puiblics".C'est du nominalisme"les choses sont ce que je les nomme";ou bien c'est le procèdér du margoulin qui colle une étiquette"chateau Margaux" ou Nuits St Georges",sur un falacon de picrate .
Personne ne conteste les imperfections du système d'accèsv à la haute fonctio n publique,mis au point en I945 par Michel Debré.Mais qui se souvient des errements intérieurs,quand le Quai d'Orasay recrutait sur la manière dont les candidats tenaient leu tasse de thé,valsaient,oul lancait quelque épigramme dans une conversation mondaine?
F Bayrou se met aussi à la remorque du PS,dévot des"services publics",sans examen de ce que recouvre ce vocable.Il faut rappeler que notre droit administratif ne définit pas le "service public",concept que les anglo-saxons recouvrent du terme"utilities".:ce qui est utile à la population,sans déterminer qui met en place,finance et gère,et selon quels cahiers des charges.Voilà des décennies,que des communes "d'e gauche"confièrent leurs services des eaux,leurs pompes funèbrres,leurs transports en commun,à des socités privées,concessionnaires d'une mission de service public.Des villes de droite,au contraire,maitinrent leu gestion directe des mêmes services.
Le non-dit de l'attirtude socialiste,comme de celle du candidat UDF,c'est que mieux vaut qu'un organisme collectif et étroitement règlementé,aide les individus à vivre:quelles que soient leurs préfèrences!(voyez en matière d"éducation).F Bayrou partage,avec la gauche,l'idolatrie du servi ce public.Voilà qui dénote et connote un socialisme rampant.