ainsi titrait "le monde",hier.Malaise,parce que l'opinion,désenchantée,ne sait plus vers qui se tourner.La gauche pérore,mais ne suggère rien que du bricolage;naguère,l'opinion éecoutaith la fanfare le pèniste,scandée à la cymbale;aujourdhui,elle applaudit Besancenot,mais elle ne pourra pas le suivre,puisqu'il prévient que si les électeurs le portaient à l'Elysée-eh bien,çca ne l'inbtérèsse pas,il n'irait pas.
Malaise:nous subissons une guerre qui coûte ce que coûte un conflit,qui détruit ressources et richesses.Et qui nous impose de changer de manière de travailler,de consommer,de vivre,et d'abord,pour compenser le"prélèvement extérieur",de sur produire et sous consommer.
Découvrir les vacances à St Brévin,préfèrées aux Seychelles;laisser les écoliers marcher jusqu'à l'école,plutot que de sortir la voiture de maman,vite engluée dans un embouteillage,choisir un logement,à moins de IOO kilomètres du bureau,ménager à la fois notre"mère nature"et notre compte en banque:au total,des comportements sages et sobres,socle d'une civilisation.
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