pas d'accord à l'OMC:"ce n'est pas la fin du monde"commente ADn ne Marie Idrac.Les produits agricoles ne repréesentent que 8,2% des échanges mondiaux;et le fait que les principaux"gisements démographiques"(en Asie)soient pargvenus à l'autosuffisance,donne à lauestion un aspect marginal.
Dans les pays émergents,lad population enytend passer du bol de riz,au hamburger;il importe à la fois d'augmenter les productions,mais arrèter la déforestation(Amazonie);subsistent aussi des poches de famine,liées aux troubles politico ethnoques(Darfour)
La hausse,depuis 2OO5,du cours des céréales,réconforte les producteurs et incite à accroitrre les volumes mis sur le marché.L'abondance des produits ,et leur libre circulation,n'empèchera pas la revalorisation des prix au détail:aux mén ages d'arbitrer,et d'accorder à la nourriture une part accrue de leurs budgets,:"le pain et les jeux"disaient les romains de la décadence.Voici le temps de jouer un peu moins,et de consacrer aux ventres affamés une fraction des pactoles qui,en cette saison de"mercato",va aux achats de vefdettes du foot...