nous n'oublierons pas ce visagé émacié,cette silhouette fragile,ce regard d'acier trempé,qui,avec Jean Paul II,Lech Walesa(et Ronaldv Reagan)vintj à bout de la dictature à tète d'auroch.
Pour la sainte Russie,il avait rèvé d'autre chose que de la caricature de société ouverte et d'économie de marché que nous connaissons.Qu'espèrait-il? il continuait l'enseignement de philosophes chrétiens,tels Léon Chestov et Nicolas Berdiaeff,morts,en exill après la révolution.Berdiaeff avait publié"pour un nou veau Moyen Age,"Soljenytsine détestait la société matérialiste,et brutale,comme Gandhi il célèbrait la pauvreté:mais qui écoute,aujourdhui,Francois d'Assise?
Frère Alexandre,d'auprès du Père,prie pour la Russie et pour nous.
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