J'informe - EXIGENCE

filmcatastrophe...

C'est celui, qui approche du dénouement,joué sur la planète finances,depuis aout 2OO7.Et qui affecte nos économies d'un"effet pauvreté"ravageur:qui vient de perdre I/3 de ses avoirs,hésite à financer un projet,soutenir un investissement,recruter des collaeborateurs.

Les gouvernements n'ont pas la main,sur ces phénomènes,pas plus que sur les cyclones ou les tremblements de terre.La planète finances est un sous -produit de l'industrie,de l'agriculture,du négoce;elle leu 'est un incontrounable auxiliaire en "assurant la liquidité",c'est à dire en permettant de règler les échanges.Mais elle s'est prise à vivre de manière indépendante et déconnectée.Elle a ouvert des crédits sans répondants,avec effet duplicateur:Paul prète IOOO à Jacques;il se considère comme titulaire de ce dont il vient de se défaire,pendant que Jacqus tient ce prèt,pour sa propriété,s'en sert pour obtenir ailleurs un autre prèt,etc.

Le film catastrophe nous oblige à praéfèrer une économie de fonds propres,à celle de l'endettement

l'idée d"un "Bretton Woods"financier plane dans l'air,peut ètre,le 25 IX,N  Sarkozy ouvtira t il une perspective en vce sens.

filmcatastrophe...

C'est celui, qui approche du dénouement,joué sur la planète finances,depuis aout 2OO7.Et qui affecte nos économies d'un"effet pauvreté"ravageur:qui vient de perdre I/3 de ses avoirs,hésite à financer un projet,soutenir un investissement,recruter des collaeborateurs.

Les gouvernements n'ont pas la main,sur ces phénomènes,pas plus que sur les cyclones ou les tremblements de terre.La planète finances est un sous -produit de l'industrie,de l'agriculture,du négoce;elle leu 'est un incontrounable auxiliaire en "assurant la liquidité",c'est à dire en permettant de règler les échanges.Mais elle s'est prise à vivre de manière indépendante et déconnectée.Elle a ouvert des crédits sans répondants,avec effet duplicateur:Paul prète IOOO à Jacques;il se considère comme titulaire de ce dont il vient de se défaire,pendant que Jacqus tient ce prèt,pour sa propriété,s'en sert pour obtenir ailleurs un autre prèt,etc.

Le film catastrophe nous oblige à praéfèrer une économie de fonds propres,à celle de l'endettement

l'idée d"un "Bretton Woods"financier plane dans l'air,peut ètre,le 25 IX,N  Sarkozy ouvtira t il une perspective en vce sens.

filmcatastrophe...

C'est celui, qui approche du dénouement,joué sur la planète finances,depuis aout 2OO7.Et qui affecte nos économies d'un"effet pauvreté"ravageur:qui vient de perdre I/3 de ses avoirs,hésite à financer un projet,soutenir un investissement,recruter des collaeborateurs.

Les gouvernements n'ont pas la main,sur ces phénomènes,pas plus que sur les cyclones ou les tremblements de terre.La planète finances est un sous -produit de l'industrie,de l'agriculture,du négoce;elle leu 'est un incontrounable auxiliaire en "assurant la liquidité",c'est à dire en permettant de règler les échanges.Mais elle s'est prise à vivre de manière indépendante et déconnectée.Elle a ouvert des crédits sans répondants,avec effet duplicateur:Paul prète IOOO à Jacques;il se considère comme titulaire de ce dont il vient de se défaire,pendant que Jacqus tient ce prèt,pour sa propriété,s'en sert pour obtenir ailleurs un autre prèt,etc.

Le film catastrophe nous oblige à praéfèrer une économie de fonds propres,à celle de l'endettement

l'idée d"un "Bretton Woods"financier plane dans l'air,peut ètre,le 25 IX,N  Sarkozy ouvtira t il une perspective en vce sens.

La b c e monte la garde

La bce ne se laisse pas intimider par le"spectre de la récession",elle n'ouvrira pas les vannues du crédit,subterfuge de l'inflation qui inionderaith tout.A quoi bon faciliter le c rédit,quand les liqsuidités abondent?Il s'agit de les mobiliser,de les attirer vers ces investissements qui,dès la mi-u2OO9,relanceront l'expansion.

Le retour à un peu de sagesse sur les marcheés de matières premières,la force confirmée de l'économie américaine,assurent que des for ces de rappel entreront en jeu.En France,il nous resteg à ne pas les paralyser sous ces frais généraux nommés"dépenses publiques".Les Régions,les Départements,les communes pratiquent ce que dans la Rome antique,on appelait le clientèlisme.Certes,la décentralisation leur permet la prodigalité-sauf que les Dotations globales(DGF et DGE)de l'Etat viennent abonder,à 35%,leurs ressources.La"revue générale"finira par s' y attaquer!

La b c e monte la garde

La bce ne se laisse pas intimider par le"spectre de la récession",elle n'ouvrira pas les vannues du crédit,subterfuge de l'inflation qui inionderaith tout.A quoi bon faciliter le c rédit,quand les liqsuidités abondent?Il s'agit de les mobiliser,de les attirer vers ces investissements qui,dès la mi-u2OO9,relanceront l'expansion.

Le retour à un peu de sagesse sur les marcheés de matières premières,la force confirmée de l'économie américaine,assurent que des for ces de rappel entreront en jeu.En France,il nous resteg à ne pas les paralyser sous ces frais généraux nommés"dépenses publiques".Les Régions,les Départements,les communes pratiquent ce que dans la Rome antique,on appelait le clientèlisme.Certes,la décentralisation leur permet la prodigalité-sauf que les Dotations globales(DGF et DGE)de l'Etat viennent abonder,à 35%,leurs ressources.La"revue générale"finira par s' y attaquer!

La b c e monte la garde

La bce ne se laisse pas intimider par le"spectre de la récession",elle n'ouvrira pas les vannues du crédit,subterfuge de l'inflation qui inionderaith tout.A quoi bon faciliter le c rédit,quand les liqsuidités abondent?Il s'agit de les mobiliser,de les attirer vers ces investissements qui,dès la mi-u2OO9,relanceront l'expansion.

Le retour à un peu de sagesse sur les marcheés de matières premières,la force confirmée de l'économie américaine,assurent que des for ces de rappel entreront en jeu.En France,il nous resteg à ne pas les paralyser sous ces frais généraux nommés"dépenses publiques".Les Régions,les Départements,les communes pratiquent ce que dans la Rome antique,on appelait le clientèlisme.Certes,la décentralisation leur permet la prodigalité-sauf que les Dotations globales(DGF et DGE)de l'Etat viennent abonder,à 35%,leurs ressources.La"revue générale"finira par s' y attaquer!

tas de ruraux!

... s'exclama un député de gauche,à la Constituante,en I875,quand fut institué un sénat è lu par les 36 OOO  maires,des ruraux à 95%:agriculteurs,médecins de campagne,notaires ..

Nous percevons toujours,des échos de ce dépit,même si une série de r"éformes a condsidèrablement accru le poids des villes,pour l'élection des sénateurs.

Le Sénat est il,fatalement,à la botte de l'Exécutif? Qui,le Général de Gaulle,trouva t  il pour faire obstavcle à ses projets de réforme,en I962 et en I969? Gaston Monnerville,puis Alain Poher(qui,après I98I,fit de sa présidence du sénat,l'un des donjons de lad résistance à la mitterandie)

Fondamentalement,l'un des pricipes du dropit public  veut que leg Législatif représente le peuple,ce que font les députés;mais aussi les territoires-role du Sénat.A l'imades Etats Unis,où chaque Etat "lit un sénateur,quelque soit le chiffre de sa population.Le mode d'élection des sénateurs n'est pas un déni de démocratie,et La Rochelle  ne fut pas le lieu de la franchise,de la lumière,et de la raison.