en I98I,j'avais endossé ma tunique anti-étatique:je gémissais sous les impots,je déplorais les règlementations,je m'insurgeais contre le tout-controle,et le"tout ceg qui n'est pas explicitement recommandé,est prohibé"?J'avais assimilé Hayek,Gary B echer, comme l'ami Salin,maugréé contre les refrains néo travaillistes de J Chirac,et regretté la lenteur des opérations de dégraissage de l'appppareil étatique.Je tablais sur Sarko pour faire avancer les libertés,mais voici qu'il sonne l'heure du"retour du politique".Suis je inconséquent? j'adhère à c eg tournant:des circonstances exc eptionnelles appellent des mesures d'eception.
Surtout,l'i ntervention de l' état ne résulte ni d'une théorie,ni d'une doctrine ou d'une idéologie.Pour le moment,elle est le"truc"qui peut marcher,quand la société civile a perdu son livre de recettes.Principe de subsidiarité:l'état en c as de défaillance de la société.Le temps,pour celle ci,de forger ses règles,comme les institutionsv propres à les faire regspecter.Depuis les origines,au Moyen Age,des sociétés marchandes,ce fut le role des"compagnies consulaires"avec leurs syndics.Mon costume neuf?J'entrouve le modèle chez Rembrandt ou Franz Halls.