Tous les 4 ans,le microcosme hexagonal s'enflamme pour le candidat démocrate;ce scrutin monopolise les écrans,des rédaction entières émigrent v ers Washington ou New York.Ce racolage,autour d'un non évènement qui ne changera rien à la réalité.
Le Président dispose des seules compétences que lui confère la Constitution;celles de l'Etat fédéral s'arrètent souvent à la frontière de chaque état;la Cour Suprème veille au respgect de "la Loi audessus des lois",celle que Moise recut sur le Sinai .Quant à "l'économique",il va demeurer l'apanage de Paul Berbankee.
Celui qui passe pour l'homme le plus puissantn du monde va se trouver à la tète d'une Amérique en déclin,sur endettée,embourbée dans des conflits asiatiques (certes la situation s'amèliore en Irak)
où elle n'aurait pas du mettre les pieds.JF Kennedy,dans son orgeuil ,rèvait d'une "république impériale",puis H Kissinger,(qui avait publié des thèses sur Metternich et sur Bismack)théorisa ce rève d'hégémonie qui s'enlisa dans les rizières du Viet Nam.Le rite du 4 novembre est un non évènement.