il ne servirait à rien de faire sortir des milliards d'un chapeau de prestidigitateur,si leurs destinataires se voyaient imposer une feuille de route qui ne laur convient pas.Et un itinèraire qu'ils n'(aueaient pas choisi.L'administration Clinton avait inventé les prèts immobiliers à taux réduits,mais variables,à la source de la crise qcue nous subissons:aux ménages qui ,aujourdhui,se font expulser de leurs logis,on avait sussuré"ne vous souciez de rien".Le système avait capturé des emprunteurs fascinés;aujourdhui,il s'agit non de guider les décideurs,ni de leur prescrire leurs conduites,mais de les responsabilier."Faites bien votre métier;sinon,vous disparaitrez" La vertu de la crise,c'est qu'elle oblilge à renoncer"aux fanfreluches",aux artifices,et à recentrer sur l'(essentiel.Toyota existe pour fabriquer dzefs véhicules,et renonce à financer des épreuves de F I.Encore d'autres décisions du même genre,et les industriels construiront et équiperont des usines,recruteront des ouvriers;mais la sortie de crise implique que nous n e mettions pas le cap vers une"société des loisirs".
Rabelais raconte qu'un pauvre ère venait respirer le fumet montant d'une rotisserie.L'hote voulut lui faire payer un sou,pour ce festin virtuel.Le malheureux vantait l'excellence de l'odeur;et un sage calma le cuisinier"il t' a payé comme tu l'as nourri".La sortie deg crise dissipera les illusions de l'économie virtuelle.
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