à une encablure la place du chateau,à l'orée du grand parc,la sous préfecture de compiègne, d'époque napoléon III,ne ressemble en rien aux rescaliers d'odessa,dans"le cuirassé potemkine".assistons nous au prologue d'une révolte?les salariés de"continental"se soulèvent contre une décision de justice,et ils s'en prennent à l'Etat républicain,en saccageant le lieu de l'autorité:faits d'une gravité que la justice pènale apprèciera.Les discours récurrents qui "comprennent"et bien tot justifient de telles violences,ont une paert de responsabilité,comme aussi les"j t",nationaux et régionaux,avides de telles scènes spectaculaires:"c'est vendeur",s'exclame "la rédac".On entretient un pessimisme qui n'test p^lus de saison,même si un rapport du fmi,mais qui date un peu,contribue à l'entrtenir.On ignore les résultats satisfaisants publiés,ici et là;on ne regarde pas les offres de recrutement;ni un frémissement des transactions immobilières.La révolte gronde-t-elle en son cratère,comme le proclamait une chanson du I9ème siècle? à vue de sondages,les intentions de vote cumulées B esancenot +Melenchon-Buffet stagent à II%.Les citoyens sont plus réalistes que ne le souhaiteraient les oueurs de flute.
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