byeon périt à missolonghi,venu aider les grecs,soulevés contre les ottomans.Aujourdhui,l'Europe lance un"missolonghi mon(taire".La Grèce a fait des bètises,mais d'autres aussi commirent,à foison.Comme elle ne peut pas vendre l'acropole,que Niarchos et ses comparses a dispaeu,et comme les charmes des cykclades,pâtissent des séductions des archipels de l'océan indien(avant que les flots ne les e ngloutissent),plus que d'autres elle se sent écrasée de dettes.L'Europe n'abandonnera pas le peuple dont la langue,la pensée et l'esthètique ont "modèlisé"noytr communauté.Le pdeuple grec admet le régime spartiate,proposé par M Papandréou,ç la stature et au profil de héros de l'illiade.Là comme ailleurs,les syndicats s'égosillent,oubliant que leurs privilèges ont plongé le pâys dans la mouise.Là comme ailleurs,sortir de la crise implilque renoncer aux facilités.
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