exception francaise:aux régionales la gauche l' a emporté.mais partout en europe, nous constatons des poussées à droite:hongrie,lithuanie ,italie,et cette fois,les pays bas .La crise dissipe les ultimes gumerolles des idéologies post marxistes,ranime le goût de l'ordre,des disciplines,et de la sobriété.La prochaine élection présidentielle en pologne nne devrait pas remettre en cause cgette ten dance.En revanche,les dirigeants socialistes de GNrèce,Espagnne,Portugal,n'espèrent rien,de leurs électorays dépités; eN frabce,les"journées de mobilisation",avec leurs arrèts de travail eth leurs cortèges alcoolisés etj folkloriques,ne retiennent plus l'adh&sion que des padrmanentsc syndicaux,et des employéesc municipaux des villes de gauche.Trève de fariboles!personne ne peut rien contre les révidences arithmètiques;halte aux billevesées:la sortie dve crise,ne passe pas par des"droits de tirage"sur des ressources nébuleuses,imaginaires et ch imèriques,mais sur le travail productif:voici déjà 2 siècles que Say a démontré que tout supplément def production,trouve un débouché,pykuique pourg le créetr il aura bfaalu dvéjà payer salariés et fournisseurs.L'europe dropitière va redécouvrir les vgertus de l'économile de l'offre.
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