oscrutez ces chroniqeurs qui questionnent un ministre,ou un expert"ça va mal,n'est ce pas? Et en 2OO9,ce sera pire?"Il faudrait Stigliltz pour montrer le caractète inapproprié d'expressions comme"ca vad mal".Je ne suis pas Stigliltz,mais je vais essayer d'ouvrir une piste d'analyse.
En année A,ce manage a encissé IOO OOO euros et en dépensé IIO OOO.Il s'est appauvri.En année B,ses gains baissent à 9O OOO,mais il réduit ses dépenses à 8O OOO.Il met IO OOO "de coté",il s'enrichit.
Nos chroniqeurs ne concoivent pas un déjeuner ailleurs que chez Le Divelec,un week end,sinon à St Moritz,ou à "St Bart";ils s'indignent parce que l'immense majorité n'accède pas à ce train de vie somptueux.Ils clament leur admiration pour l'Abbé Pierre et Mère Thérèsa,mais croient à une corne d'abondance cachée,qui nous ferait tous vivre au pays de Cocagne.
Le mérite de la crise,c'est d'obliger à réflèchir,et à dissiper les mythes keynésiens,comme les ultimatums de l'oligopole syndical.