Partie de la sphère financière laxiste et de spéculations haussières inconsidèrées,la crise ébranle les industries,le négoce,et le moral de tous.Restent des hâvres de sécurité:la baisse des carburents,jointe à la perspetctive du chomage,calment les revendicaztions salariales en Europe,et écartent ce que J C trichet redoutait en début d'année:une inflation z"de second tour",alimentée par les hausses de salaires.
Déjà la FED se dispose à baisser ses taux,sans attendre l'élection du 4 novembre.
Et puis,notre capacité à fa briquer,produire,innover,est elle affectée?Et l'appétit de nos contemporains
pour toutes sortes de biens,est-il entamé?nous constatons beaucoup de résign ation,l'acceptation d'une vie plus sobre(en plus,"c'est bon pour la planète!").C'est vrai que nous pouvons nous passer de fraises importées du Chili,et de vacances dans l'Océan Indien,ou de footballeurs miliardaires(leurs fans savent ils qu'ils les paient,à travers les écrans de pub,répercutés dans les prix de toutes les denrées?)
La réforme de l'Etat,aussi dérangeante soit elle,débouchera aussi sur l'allègement d'une "rsur administration", omni présente plus pour surveiller que pour aider.Oui,il faut espèrer et oser.