Une ligne de dette publique en moins,une trace de déficit affacée,un zeste de cropissance en mieux:certes,pas de qoui pavoiser,ni pas de raison d'oublier que sans le fardeau de la dépense publique(y compris l'intérèt de la dtee)et celui des 35 heurres,les francais popurraient vivre beaucoup plmus à l'aise.Ne pas oublier non plus la malédiction qui,à partir de septembre 2OO2,figea l'activité et que F MER signala:les menaces"géopolitiques"suspendirent,ou annulèrent,forc e projets industriels,pendant que les marchés actions s'effondraient(le CAC tomba à 24OO la veille de l'intervention militaire en IRAK).35 heures et dépense publique,empèchèrent la zone euro,et surtout l'hexagone,de tirer parti dbe la reprise subséquente.
Et aujourdhui?en France,enfin,les esprioyts se covertissent à vcette "économlie de l'offre"qui,à la fin des années 7O,fit le richesse des EU et de la GB,et que J Chirac,alors incompris,préconisa en I98I.
Travailler,produire,investir,avant de partir en RTT ou en retraite à 55 ans!Sélectionner les secteurs porteurs,comme le fait Thierry B reton,pour renoiuer avec une croissance à 4% eyt un chomage à 5%:voilà des azmbitions pour stimuler l'énergie nationale!
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