DEUX TRIBUNES ,emplies d'imprècateurs,vocifèrent pour commenter 6 mois de présidence:
reibune A"c'est un hyper président,agité,qui bouscule tout,renverse tout,ne respecte rien
tribune B:tien ne change,je ne suis pas plus riche qu'avant"
Ces 2 séries se contre disent et donc,s'anulent.Dans une situation bloquée,faut-il laisser trainer en longueur?Sur la construction européenne,il ne fallait pas s'éterniser sur ka situation née du"non'"de 2OO5;Lisbonne a tranche le noeud gordien.
La eoutine,les privilèges,la paresse,ligotent notre systèlme de la production et des aéchanges,bloquent la création de ressources.Longtemps engoncée dans le keynésianisme,la pensée économique est à présent tournée vers l'économie de l"offre et de fonds propres:l'INSEE,et la comptabilité nationale édifiée en I946 oar des keynésiens-à l'exception notable de Louis Armand-ne mesurent qyue ce qu'ils placent dans leur champ de vision.Et méconnaissent ,par exemple,les résultats bruts des S.A.nqui restent bons,malgré le b aril,et la crise des"surprimes".
Oui,nous avons besoin de gagner plus,il nous faut donc produire plus,mieux,et à moindres frais.
Les agitateurs,qui célèbrent les 9O ans de la Révolution d'octobre,et qui se"shootent"en visionnages d'Eisenstein,veulent-ils faire la révolution? même pas,ils veulent devenir hauts fonctionnaires.En caressant en secret l'esploir qui animait Lénine: établir ce qu'il appelait la dictature du prolètariat,c'est à dire la sienne.