la crise déroule ses effets et ses méfaits;chaque journée s'achève sur l'annonce de fermetures de sites,de déprèciation dv'actifs,et de baisse du cours des actions.A Paris,elles cotent entre 2O ET 25% de leur valeur réelle.Comment en sortir?parce qu'il faut bien vivre,que les outils egxistent,et le savoir fadire,pasrce que la clientèle,même désargentée,a besoin de"faire ses courses",les négociants passeront commande pour le"réassortiment",les industriels remettront les machines en marche,et ils achèteront des métaux,du coton,de la laine,et même du pétrole.
Les états ont peu de prise sur ces phénomènes,ce que nous leur demandons,c'est de ne pas semer d'embuches le sentiegr escarpé qui nous mènera à la reprise.Entraves règlementaires,controles inhibants,et dépenses publiques à tort réputés incompressibles.L'informatique rend inutile la conservation des hypothèques,un fromage pour dsyndicalistes brevetés:Eric Woerth la supprime.La crise de 2OO7 n' a pas résulté d'une carence de la règlementation publique;les professions étaient habilitées à faire leur police,elles ont failli et en paient le prix.Bonne leçon pour l'avenir.
Commentaires