En 2OO7,l'économie mondiale vivait en surchauffe,mesurée par le renchèrissement de toutes les matières premières,à commencer par les hydrocarbures.A l'été 2OO8,nous sommes parvenus au point que bien des conducteurs,une fois "le plein"fait,découvraient qu'il ne leur r'estait rien,et surtout pas pour changer de véhicule.Des usines ferment,des chantiers s'arrètent.Les autorités,à partir du plan Paulson ont fait le nécessaire pour "assurer la liquidité",mais"on n'oblige pas à boire un ane qui n' a pas soif";en Europe,aux E U ,ailleurs,les ménages aimeraient se loger mieux,s'équiper,et d'abord,gagner "des sous",en s'activant,en "se bougeant",par des efforts volontaristes,qui en appellent à l'énergie,et non à la recherche des plaisirs.
Il faut des ambitions,encouragées,pour que la poussée conjuguée de toutes ces forces,détermineun"bond en avant"autant écelogique qu'économique.
La France commence à comprendre ces réalités,dommage que la lourde superstruture européenne
reste assez imperméable à la vérité qui poind.
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