voici une belle tranche de boeuf;avec un morceau de beurre et un verre de cotes du rhone au fond de la poèle,une chalotte eth du persil hachés,elle vous promet une savoureuse entrecoe bercy.A coté,un morceau de barbaque,juste bonne,une fois hachée,à préparer un hamburger vecteurg de ch oléstérol.Et voici une banque,qui prète à des clients sérieux,responsables,disposant de"eépondant".Cet éetablissement récupère ses créances,encaisse ses intérèts,et les refcycle en prenant degs partycipations chez ses clients.Une autre banque ouvre ses gnuichets à qui la sollicite,et accumule les crféances douteuses.Le jour vient où il faut se demander:"comment s'en débarrasser?"
Il n'est question cges tempsc ci que de"bad bank"qui rammasse les créances "pourries",et les conserve le temps de pouvoir les liquider.Le ministre italien des finan ces ajoute"pendant 4O ans s'il la faut":nosv amis transalpins ne craignent pas l'hyperbole.Il ne faut pas non pluks fixer des délais trop brefs,le troupeau de chacals des repreneurs en abuserait.
la sortie de crise dépend ladrgement du travail des "structures de défaisance".N Sarkozy faisaith ses débuts ministériels dans le gouvernement Balladur quI en I995,sut évacuer les actifs pourris du crédit lyonnaisbanque nationalisée sous influence des gouvernants socialistres.
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