Dans la débâcle qui sévit,depuis l'été 2OO7 et surtout,depuis septembre 2OO8,le"retour de l'état" est devenu le leit motive à la mode.A ce jour,l'engagement massif des états n' a pas encore réussi à restaurer la confiance,donc à relancer l'activité. L'abstention des politiques avait laissé s'emballer la croissance mondiale,le cours des matières premières,et des endettements privés mal gagés.Le système a versé,comme un char dont les chevadux s'emba llent,et qu"='un"ben hur"ne maitrise pas.
Voici donc les états occupés à relever l'attelage.Ils font bien:le système accidenté ne peut se relever seul,et sans le concours d'états acceptant ,par exemple,la montée exponentielle de la dette publique,pour assurer la liquidité.Ce qui n'habilitera pas les états ,assemblés en G 2O,à se charger,par la suite,du pilotage de l'ensemble.Moyennant des règles strictes de gestion et de transparence,le système s'autorègule,pourvu que l'autorité "consulaire",celle des "syndics",applique,en cas de fautes de conduite,des sanctions immédiates.Cette crise ne justifie pas l'étatisme
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