Le gouvdernement consent-il à laisser filer la dette,ce que Lord Keynes praéconisait et nommait"benign ne glect"?Au Modem,des économistes avertis(Christian Saint Etienne,par exemple) s'en inquiètent.N Sarkozy se rebelle-t-il contre l'orthodoxie défendue par la BCE et insitutionnalisée pâr le Traité de Maastricht?
En I986,N Sarkopzy devint un très jeune secrètaire d'état au budgetn,alors que J C Trichet dirigeait le cabinet d'EBalladur-c e n'était pas Bercy,c'était encore Rivoli.Les 2 hommes se connaissent,et ils connaissent leurs dossiers.
Depuis des années,J Chirac s'impatientait des entraves que la BCE fixe à l'activité :il rappelait que le pactre de I992 s'intitule"de stabilité et de croissance".
Le giouvernement ne se moque pas de la dette;s'il réduit le barème de l'impot,il compteque "I point de croissance en plus"(3,5=)élargira l'assiette et augmentera la recette;
Quant aux dotations budgètaires accrues,des économies visibles en compenseront le coût.
N ous voici sur une longue voie ascendante.